L'Iran dément les allégations de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) qui l'accuse d'avoir effectué des essais nucléaires sur le site de Parchin, ont annoncé lundi les médias internationaux, citant le ministre iranien de la Défense, Ahmad Vahidi.
Début juin, le directeur général de l'AIEA, Yukiya Amano, avait déclaré que l'Iran procédait à des démolitions sur son site de Parchin afin de "dissimuler" les traces d'essais nucléaires. M. Vahidi avait alors affirmé que cette déclaration était "injuste et contraire à la réalité".
"Les pays occidentaux doivent accepter l'exigence rationnelle de l'Iran concernant l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques", a indiqué lundi le ministre. Il a souligné que la République islamique était prête à coopérer dans ce domaine, mais qu'elle n'abandonnerait pas son droit au nucléaire civil.
Le député du parlement iranien Evaz Heidarpour a pour sa part complété les propos de M. Vahidi, soulignant que Téhéran ne laisserait jamais l'Occident pratiquer l'espionnage sur les sites iraniens, même "sous l'enseigne de l'AIEA".
Les autorités iraniennes affirment que Parchin n'est rien d'autre qu'un site militaire ordinaire.
Une délégation de l'AIEA s'est rendue en Iran dans la deuxième quinzaine de février. Les inspecteurs n'ont pas réussi à visiter le site de Parchin. Les autorités iraniennes ont d'abord affirmé que l'inspection des sites nucléaires ne figurait pas dans le programme de la visite, mais ont ensuite déclaré que la délégation avait elle-même refusé de se rendre à Parchin.
Sur http://fr.rian.ru le 11 juin 2012.
Début juin, le directeur général de l'AIEA, Yukiya Amano, avait déclaré que l'Iran procédait à des démolitions sur son site de Parchin afin de "dissimuler" les traces d'essais nucléaires. M. Vahidi avait alors affirmé que cette déclaration était "injuste et contraire à la réalité".
"Les pays occidentaux doivent accepter l'exigence rationnelle de l'Iran concernant l'utilisation de l'énergie nucléaire à des fins pacifiques", a indiqué lundi le ministre. Il a souligné que la République islamique était prête à coopérer dans ce domaine, mais qu'elle n'abandonnerait pas son droit au nucléaire civil.
Le député du parlement iranien Evaz Heidarpour a pour sa part complété les propos de M. Vahidi, soulignant que Téhéran ne laisserait jamais l'Occident pratiquer l'espionnage sur les sites iraniens, même "sous l'enseigne de l'AIEA".
Les autorités iraniennes affirment que Parchin n'est rien d'autre qu'un site militaire ordinaire.
Une délégation de l'AIEA s'est rendue en Iran dans la deuxième quinzaine de février. Les inspecteurs n'ont pas réussi à visiter le site de Parchin. Les autorités iraniennes ont d'abord affirmé que l'inspection des sites nucléaires ne figurait pas dans le programme de la visite, mais ont ensuite déclaré que la délégation avait elle-même refusé de se rendre à Parchin.
Sur http://fr.rian.ru le 11 juin 2012.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire