dimanche 22 novembre 2015

Les attentats terroristes à Paris

La violence des terroristes a été brutale et cynique. Elle s'est déroulée à notre époque, dans le cœur du cœur de l'Europe. Cela pourrait être le nouveau point de départ de l'histoire. Le point, après quoi le monde devra changer radicalement les règles de comportement global, effacer tous les différends et les conflits frontaliers par une union éclatante contre la menace commune la plus importante, le terrorisme.

Il ne faut pas seulement des mots mais de l'action. Un plan clair a déjà été exprimé dans le monde. A la tribune des Nations Unies, le Kazakhstan a pris l'initiative de ce qui pourrait mettre un terme au terrorisme sévissant dans le monde et qui aujourd'hui prend une échelle véritablement mondiale, peu importe si à première vue, elle peut sembler impossible à mettre en œuvre. Le Kazakhstan propose de créer un réseau mondial unifié pour contrer le terrorisme international et l'extrémisme. Le dirigeant kazakh propose l'approbation par l'Organisation des Nations Unies, d'un document exhaustif qui confirmerait la volonté de tous les pays à faire face à l'ennemi principal, le terrorisme. L'ennemi n'est pas une personne et n'a pas de méthode spécifique et cette guerre qui n'a pas de lignes de front claires. Tout cela est particulièrement dangereux.

Par un autre élément de ce plan, ce dont peu de gens parlent, ce devrait être une solution aux problèmes économiques mondiaux. Le président kazakh estime à juste titre que les problèmes économiques sont en grande partie provoqués par des phénomènes négatifs dans le monde, y compris le terrorisme. Et cette question nécessite également une réponse, une approche commune. Selon le Président du Kazakhstan, l'idée d'un plan anticrise mondiale est devenu l'objet d'une attention particulière de la communauté internationale. Les crises des dernières années démontrent la futilité des politiques isolationnistes. Le monde a besoin de nouvelles règles de vie.

A l'échelle mondiale, le Kazakhstan lui-même pourrait servir de modèle à tous les changements souhaités par les dirigeants des différents pays. Il est le pays le plus stable d'Asie Centrale. Tout d'abord, dans le sens politique et  ceci en dépit de la proximité géographique de l'une des principales sources d'instabilité sur le continent, l'Afghanistan, dont il n'est pas toujours possible de freiner l'impact destructeur pour ses voisins.

Le Kazakhstan est comme notre monde en miniature, ou tel qu'il devrait être à l'avenir, c'est-à-dire déjà au minimum,  sans armes nucléaires. Notre avenir lointain est si proche. Le Kazakhstan est le premier pays dans l'histoire qui par sa propre décision, a fermé son site d'essais nucléaires et a volontairement renoncé au quatrième arsenal nucléaire mondial, et créé une zone franche en Asie centrale. Aujourd'hui, le président du Kazakhstan propose de renouveler cette expérience au Moyen-Orient, d'où vient maintenant le principal danger pour la sécurité de la planète et d'où les interminables guerres génèrent les migrations incontrôlées, le terrorisme et le chaos. Une telle mesure est plus que nécessaire.

Quant à l'économie, le Kazakhstan est maintenant un exemple concret pour beaucoup de théoriciens. Au plus grave de la crise mondiale de 2008-2009 ce pays s'en est sorti avec des pertes minimales. Dans la crise actuelle, plus ambitieux, le Kazakhstan a élaboré et commencé à mettre en œuvre un plan radical de redressement. A Astana, on reconstruit complètement le système de sorte qu'il ne conduise plus à des échecs. Le programme « 100 mesures concrètes » du Président du Kazakhstan et son approche révolutionnaire de problèmes séculaires a fait écho dans différents pays, mais aussi dans le monde entier. Les experts de diverses parties du monde, ont même parler de la nécessité de le prendre en compte. Ainsi German Gref, ancien ministre du Développement économique de la Russie, et économiste de renommée mondiale maintenant à la tête de l'une des plus grandes banques, a appelé le plan "l'un des meilleurs documents qu'il avait jamais vu", notant que, après la mise en œuvre de seulement 50 étapes, le Kazakhstan est déjà devenu un Etat fondamentalement différent.

Il faut admettre que le Kazakhstan est en fait aujourd'hui, un état très différent. Pas du fait qu'il n'ait qu'un quart de siècle ou qu'il soit au tout début de sa trajectoire indépendante. Le Kazakhstan vit déjà dans un nouvel avenir, selon les paroles de son président. C'est dans ce nouvel avenir, que le monde doit entrer. Le projet «nouvel avenir», qui consiste à assurer la sécurité nucléaire, de l'énergie, de l'eau et de l'approvisionnement alimentaire, tout cela étant est déjà mis en place dans le grand territoire du Kazakhstan qui espère maintenant les efforts conjoints de collègues d'autres pays afin de l'étendre à l'échelle de la planète, ce qui montre le Kazakhstan comme un exemple de la mise en œuvre réussie de ces réformes. Ce pays se développe à un rythme record, même dans les périodes où l'environnement extérieur n'est pas propice à cela. Aujourd'hui parmi les pays de la CEI, cette république est en tête au niveau de la prospérité de la compétitivité et de l'environnement des affaires. Cela peut être jugé par la manière dont Astana, année après année, monte plus haut dans les classements mondiaux.

Ayant atteint ces résultats, les autorités kazakhstanaises ne prévoient pas de se reposer sur ses lauriers et s'efforcera d'atteindre de nouveaux sommets. Le Kazakhstan a l'objectif ambitieux d'entrer dans les trente pays les plus développés dans le monde d'ici 2050. Et en regardant comment le Kazakhstan se développe aujourd'hui, sous la direction éclairée et très clairvoyante de son leader, il ne fait aucun doute que le pays s'est donné les moyens atteindre son objectif.

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